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Médecines alternatives,
le pouvoir de l’autoguérison

La médecine occidentale représente un gage de qualité pour beaucoup de personnes qui recherchent des résultats rapides. Mais depuis quelques années, après la démocratisation et la reconnaissance officielle de l’ostéopathie, les médecines “douces”, notamment issues de la Médecine Traditionnelle Chinoise, gagnent du terrain en Europe et dans le monde.
Pourquoi cet engouement nouveau envers les pratiques orientales? Qu’est-ce qui les différencient des médecines conventionnelles? Je vous explique.
- Santé et bien être: une prise de conscience généralisée
Depuis quelques années, une prise de conscience environnementale, alimentaire et sanitaire fait évoluer les mentalités et nous amène à revoir nos modes de fonctionnements au quotidien. La recherche d’une alimentation équilibrée, saine, qualitative et de proximité est au coeur de nos sociétés et des ambitions politiques, culturelles et sociales.
Au coeur de cet engouement, nous parlons d’une réelle recherche de bien-être et de santé durable pour notre environnement, pour nous, nos enfants et nos animaux.
Alors que la médecine occidentale dite “allopathique” domine la plupart des soins en France et en Europe, nous nous tournons petit à petit vers de nouvelles approches plus naturelles et plus douces, nous permettant de devenir acteur de notre santé et de notre guérison. Officiellement reconnue en France en 2002, l’ostéopathie a ouvert la voie à d’autres pratiques venues d’orient telles que le reiki, l’acupuncture, le shiatsu ou encore les soins énergétiques proposés par Cheval Compagnon.
- La santé, bien plus qu’une absence de maladie
A l’image de l’Organisme Mondial de la Santé (OMS) définissant , depuis 1946, la santé comme “un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement à une absence de maladie ou d’infirmité ”, la Médecine Traditionnelle Chinoise considère le symptôme comme un moyen d’expression du corps soulignant un déséquilibre plus profond et non pas comme une finalité à soulager ou guérir.
À travers des séances de shiatsu par exemple, nous explorons les causes profondément ancrées chez l’individu et responsables de son état de mal être (alimentation, traumatismes, blessures, stress…) afin de les identifier, de les accepter, de les apaiser et de proposer au corps le chemin de l’auto guérison.
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Mais alors, des soins tels que le shiatsu peuvent-ils remplacer les pratiques conventionnelles comme la médecine généraliste ou des actes vétérinaires ? Sont-ils complémentaires ? Peut-on en tirer profit pour améliorer le bien être de nos animaux ?
